dimanche 19 décembre 2010

La merveilleuse desillusion

Un matin ou un soir, un jour en somme
On a recherché de l'information, elle était sûrement musicale, et automatiquement liée à sa théorie.
Malgré les "gros titres", elle semblait n'avoir aucune consistence, être émoussée de précisions.
Bien que le sujet remplisse de nombreuses pages, il reste vaguement une actualité d'un temps passablement éloigné.
La liberté d'expression nous dévoile son côté misérable, même aux premières loges de la communication.
Ainsi, nous pouvons connaitre l'histoire de la musique au travers les acteurs, les créateurs connus.
C'est au rythme des facettes, de l'actualité miroitant l'objet sous toutes les coutures.
Habillant ainsi, une culture dépassée, démontrant les premières notes fondamentales.
Celles-qu'aucun musicien ne devrait oublier, pour gagner une place d'orée en sein médiatique.
Il est plus aisé de composer de la musique populaire qu'impopulaire, n'est-ce pas .?

Puis, la musique n'est pas la seule à être touchée par cette épidémique sonorité gagnante.
On peut généraliser ce phénomène aux autres cultures, à cause d'une liberté qui n'aurait plus une réelle valeur.
Quand le droit n'est plus à la hauteur des libertés, tout devient permis, vu le nombre considérable des savoirs.
Imaginons un instant, que tous les droits soient définis dans un unique objectif financier, de rapport commercial.
En règle sommes-nous, entrain de poursuivre le combat avec l'argent, sans lequel je ne pourrais pas vous écrire.
Entourés d'agents voués à la cause qui nous détruit, ayants un jeu de rôle plutôt vague, entre les uns & les autres.
Pour finir par donner à la vie un sens imparfait, et ce à tous les niveaux intellectuels, en fait...
Il n'y a vraiment pas besoin de s'exprimer, d'être le premier, d'appartenir à, puisque on a déjà tout ce qu'il nous faut.


Un @lo@ ou un @urémail, un soir en somme