dimanche 17 novembre 2013

Les premières harmoniques

Soit une première harmonique fondamentale étant égale à 1.
Tout comme l'évolution des nombres entiers, l'harmonie est une relative énumérée. Alors, que ce soit une harmonique ou un chiffre. L'unité numérique est une commune mesure mathématique, car sans le calcul le monde des chiffres serait plus simple. L'expression des nombres entiers et la logique de l'opération. L'opération des multiples, la déclaration des parités, les entiers décimaux... Parmi les nombres entiers, il y a les nombres premiers. Ceux qui ne correspondent à aucun multiple précédant. Les scientifiques ignorent encore les clefs des premiers accès, alors laissons les nombres s'exprimer.
  • Les tables de multiplication sont des fonctions logiques, elles produisent des éléments relatifs aux nombres entiers et non-premiers. Elles développent une échelle en croissance, donnant ainsi la particularité de décrire des lignes de chiffres relatifs à un multiple commun.
  • Les divisions, contrairement au sens positif des multiples, elles donnent des nombres décimaux au final. Pour un multiple inversé vers la subdivision, afin de déclarer les valeurs comprises de l'intervalle. En terme d'une mise à niveau de l'expression décimale des nombres, entre 1 & 2. Car dans son développement, la division présente des relatives aux nombres multipliés.
Il y a les nombres pairs, impairs, entiers, décimaux. Qui sont multipliés et divisés. Qui vont définir des états variés, selon la précision des opérations menées. La découverte des nombres premiers conditionne un fait permanant, qui s'exprime au travers la possibilité de calcul relatif. Il faut savoir que la création des tables d'analyses a évoluée, permettant ainsi de voir les indices des multiples en matière d'intervalle. Quand on est dans l'intervalle de 1 & 2, on est dans ce qui se passe entre 2 & 3. Par exemple : intervalle 1&2=0.333. intervalle 2&3=1.333. L'unité entière 0 a été incrémentée de 1.
9/9, 10/9, 11/9, 12/9...
 
 
La colonne "X9 (µ14)"
 Contient des nombres en gras 1.333...
Déjà connus parmi d'autres intervalles, dont la série des fractions.

4/3 et 5/3

 
La division est complémentaire à la multiplication, pour trouver la clef d'accès aux nombres premiers. Mais il y a un autre cas de complémentarité, qui s'organise autour d'un hexagone. En effet, en écrivant les nombres entiers un par un dans 6 colonnes. Arrivé à 7, on revient à la première colonne en créant une nouvelle ligne. Cet hexagone numéral organise les nombres.
  1. Colonne 1 : Impairs, premiers.
  2. Colonne 2 : Pairs.
  3. Colonne 3 : Multiples de 3 impairs.
  4. Colonne 4 : Pairs.
  5. Colonne 5 : Impairs, premiers.
  6. Colonne 6 : Multiples de 3 pairs.
Cette structure rassemble parfaitement les nombres, et informe au sujet de l'emplacement des nombres premiers...

samedi 2 novembre 2013

La mathématique selon la musique

Au début du temps qui nous occupe, il y a la réalité sur laquelle nous ne voyons aucune forme mathématique. Donc, la mathématique est arrivée par un marchandage. Dans la pureté mathématique, il y a une expression complexe, difficile pour les non initiés de la comprendre. Le côté simplifié de la mathématique est beaucoup plus abordable, elle démontre une logique digne de figurer dans les écoles. Car à chaque fois, il est question d'objectivité. Le progrès réalisé par l'humanité est une série de quantifications physiques, celles qui font les nuances de couleurs,,, le chromatisme en général. Il est avéré que la création quantique de l'objet procède en étapes, qui va d'une recherche de résultat à une possible fabrication. Aussi, tous les scientifiques sont des chercheurs aux premiers instants de leurs découvertes. Tout démarre avec une idée, une sorte de rêve concrétisant une logique.
  • La première fois que j'ai vu une gamme musicale, j'ai compris qu'il y a là une logique de développement. La note musicale ne se calcule pas comme un objet quelconque, puisqu'elle est harmonique. L'harmonie de la gamme a une définition coordonnée avec un système musical, en terme diatonique elle représente une tonalité parmi tant d'autres. L'échelle qui mesure la gamme originale est l'octave, et le développement des tonalités diatoniques produisent les éléments chromatiques. La gamme naturelle a des intervalles pour former un équilibre diatonique de base, en modifiant naturellement la tonalité on module la tonalité. Et ainsi, modifier la mesure des intervalles relatifs.
Le calcul de la gamme est toujours basé sur la formule de l'intervalle majeur, donné par la gamme naturelle originale. Ainsi, la méthode mathématique qui traite les gammes, est relative en terme logique à la reproduction d'un phénomène quantique musical. Ou bien, le moment pour les mathématiques de calculer une autre classe de marchandage.
  • La réalité musicale dépasse la fiction de l'accomplissement sonore, puis le système des gammes est plus évolué que la mélodie. Une émotion nouvelle intervient avec l'art quantique de la musique, tel un être devant une organisation merveilleuse. Qui après le développement des systèmes logiques impliqués harmoniquement, qui mettent en relation leurs chronologies. Que comprendre de cet état complexe ?
L'art quantique de la musique est basique, il ne supporte que la logique des logiques. Dont la forme globale est le résultat constant de son expression, telle la peinture matérialisant l'idée d'une image. Sauf, qu'ici ce n'est pas une pomme au final. Mais une structure complexe organisée, tous les cas sont bien rangés en parfaite harmonie... .